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24 novembre 2010 3 24 /11 /novembre /2010 21:40

 

 

Cinéma l'Entrepôt
7/9 rue Francis de Pressensé
75014 Paris
le mercredi 1er décembre 2010, à 20h
Titre original : Um amor de perdição
Pays : Portugal, Brésil
Année de production : 2008
Genre : Fiction
Réalisateur : Mário Barroso
Acteurs : Tomás Alves, Rui Morisson, Ana Padrão, Catarina Wallenstein, Virgílio Castelo, Patrícia Franco, William Brandão, etc...
SYNOPSIS :

Simão, un adolescent violent, imprévisible et solitaire passe ses journées à se bagarrer. Issu d’une riche famille portugaise désaxée — les parents ne se supportent plus, son frère Manuel le déteste et entretient une relation incestueuse avec sa mère — le jeune marginal se confie uniquement à Rita, sa sœur de douze ans, la seule personne qui l’accepte et admire même son brin de folie. Un jour, cette dernière lui montre une vidéo d’un match de volley-ball de son école où Simão aperçoit Teresa, une mystérieuse jeune femme considérée comme folle par son entourage. Elle le fascine immédiatement et finit même par l’obséder. Il suit ce personnage fantomatique au visage flou, aperçu systématiquement dans l’ombre ou à travers une surface vitrée. Il découvre ensuite son adresse et réussit même à obtenir son numéro de portable. Lors de leurs échanges téléphoniques, Teresa et Simão tombent amoureux. Le jeune marginal change: il devient plus calme, plus silencieux ne communiquant presque plus avec Rita, sa seule confidente, et passe son temps à lire Amour de perdition de Camilo Castelo Branco. Malheureusement, les conflits d’ordre professionnel entre son père et celui de Teresa — deux avocats rivaux — condamnent cette relation, donnant à l’adolescent de nouvelles raisons de se révolter.

 

NOTE D’INTENTION :
 
En adaptant le roman AMOUR DE PERDITION, de Camilo Castelo Branco, au cinéma, j’ai voulu me concentrer sur ce qui me paraît être le véritable moteur de l’histoire : l’obstination, l’histoire d’opposition qui mène à l’auto-destruction du héros, plutôt que l’histoire d’amour interdite entre deux adolescents.
UN AMOR DE PERDITION est, en substance, Simão Botelho. L’adolescent qui ne reconnaît ni autorité ni morale, car il vit en dehors d’elle, a sa propre éthique qui le conduira à l’anéantissement, comme s’il s’agissait d’une fin inévitable…
Au-delà d’une histoire de passion, une histoire de violence et de rivalité.

Mário Barroso

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